Confiance en soi

Confiance en soi et estime de soi ne sont pas synonymes. Elles sont bien sûr liées mais elles se développent et s’entretiennent différemment. Je vous propose de vous accompagner dans ces 2 dimensions au travers d’ateliers, de séances, d’exercices, en lien avec la psychologie positive, la gestion des émotions, et avec la méthodologie de la préparation mentale.

Confiance en soi

C’est la croyance en ses ressources internes et est à mettre en rapport avec les capacités : elle concerne ce que nous sommes capables de faire.
Elle est le résultat d’une évaluation que nous faisons de nos compétences et de nos ressources personnelles.

Le niveau de confiance en soi dépend de la réponse aux questions
  • Ai-je les ressources internes nécessaires pour affronter cette situation ?
  • Suis-je capable d’y arriver ?
  • Suis-je à la hauteur ?

Estime de soi

C’est une bonne image de soi.
L’estime de soi est à mettre en rapport avec la valeur que nous nous accordons.
Elle est le résultat d’une évaluation que nous faisons de nous-mêmes, de nos actions. Elle correspond à nos valeurs, à nos forces ancrées.
Lorsque nous accomplissons quelque chose que nous pensons valable, nous ressentons une valorisation et lorsque nos actions paraissent en opposition avec nos valeurs, nous “baissons dans notre estime.”

L’estime de soi peut être décrite par métaphore comme une sorte de colonne vertébrale, de centre ou de noyau.
On reconnait l’estime de soi saine et épanouie au sentiment d’être bien avec soi-même, d’harmonie avec soi.

Jeunes en train de jouer au basket

Pour éclairer la différence entre confiance en soi et estime de soi, on peut penser à un élève qui aurait des notes non satisfaisantes en math, mais qui accorde peu d’importance à cette matière.
Il a alors une mauvaise confiance en ses capacités à réaliser une bonne performance sur les exercices de math, mais son estime de soi est intacte.
En revanche, s’il se considère mauvais en mathématiques mais que cette matière serait fondamentale dans sa réussite et qu’il en fait une généralité de ses compétences scolaires , il aura à la fois une faible confiance en soi (en ses capacités à résoudre un problème d’arithmétique ou de géométrie) et une faible estime de soi (il portera des jugements négatifs sur sa valeur d’être humain en général). 

Un sportif qui n’est pas satisfait d’une séance d’entrainement parce qu’il n’aura pas réussi à réaliser tel geste technique ou telle combinaison, se posera des questions sur sa confiance en soi s’il pense qu’il n’est pas compétent sur les exercices proposés durant cet entrainement. 

En revanche, si ce sportif remet en question sa place dans l’équipe ou sa légitimité dans son sport à l’issu de ce même entrainement, là c’est son estime de soi qui est diminuée car il remet en question sa légitimité à être sur le terrain ou à pratiquer cette activité, et donc sa valeur d’être humain dans sa globalité. 

La préparation mentale permet une grille de lecture des pensées et des ressentis, et de reprendre la maitrise de ces interprétations, ainsi que d’assurer une confiance en soi et une estime de soi satisfaisante.

La confiance est liée à une saine estime de soi, quand on se connaît bien.

On sera alors capable de faire la différence entre savoir qu’il y a un domaine dans lequel on est moins doué et chercher comment progresser, et se sentir incapable ou nul en tout.

Une bonne estime de soi produit une énergie constructive qui permet à la personne de s’ouvrir à la nouveauté, à l’inconnu, à l’autre. On accepte plus facilement les difficultés, les obstacles, les critiques quand on a une bonne image de soi.

La confiance en soi aide particulièrement à passer à l’action, à oser risquer. Elle se situe plus dans le FAIRE.
Tandis que l’estime de soi se situe davantage au niveau du SENTI. L’une influence directement l’autre.

Le fait d’améliorer l’image de soi a pour effet d’améliorer l’estime de soi et à développer la confiance en soi.

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